Le RN de Le Pen et leurs alliés du groupe dissident de Cotti, qui représentent environ 3 % et quelques, également comptabilisés pour les sièges à l'Assemblée, ont obtenu 33 % des suffrages populaires. C’est le score le plus élevé jamais atteint, mais pas suffisant. L’alliance naturelle entre « la gauche du travail et la droite des valeurs », comme l’a si habilement formulé Alain Soral, ne fonctionne pas comme elle le devrait pour sauver la France.
Le vieux schéma de la haine induite par les médias, les partis d’établissement de « droite » votant pour un amalgame insensé de candidats prétendument de gauche après avoir retiré bon nombre des leurs, uniquement pour empêcher l’expression légitime du mécontentement d’accéder au pouvoir, tout en permettant au lot destructeur d’anomalies et d’anormalités promu par les usurpateurs de l’étiquette de gauche, ce vieux schéma a encore fonctionné.
Il s’agissait d’une élection classique contrôlée par l’État profond, utilisant la même formule éprouvée, cette fois sous la bannière englobante de Mélenchon, bien parlé, mais une figure de proue présidant un sac vide (quoiqu’avec un bon slogan de marche), par ailleurs un outil parfaitement inoffensif et utile pour le système. L’assassinat idéologique de la France se poursuivra sans relâche.
Les partis théoriquement inclinés à droite peuvent constamment rallier plus d’électeurs, y compris ce qu’il reste des travailleurs, qui votent principalement Le Pen, dans l’esprit d’une véritable compréhension sociale qui était autrefois l’apanage de Georges Marchais et des vrais gauchistes français, mais cela n’a pas d’importance, l’État profond veille.
Les partis « centristes de droite » fabriqués par l’establishment, surgissant miraculeusement de nulle part chaque fois qu’on a besoin d’eux, ainsi que les « personnalités » politiques manufacturées, sorties du chapeau du jour au lendemain – à l’image de Sarkozy, Macron ou Zemmour – s’allient toujours avec la pseudo-gauche, la gauche socialement clivante, pour bloquer le peuple français (ce qu’il en reste) d’avoir une chance de suivre une autre voie politique que celle choisie par une « élite » anti-nationale.
Le réservoir électoral de la « gauche » a très peu à voir avec la gauche classique, socialement consciente et liée aux travailleurs, et beaucoup avec le woke, le mouvement LGBT+ et autres cultes d’identité de groupe imposés collectivement, la folie de l’arnaque écologique et la population culturellement inassimilée, socialement assistée et maintenue en bas, majoritairement d’origine immigrée.
Les problèmes sociaux causés par l’ingénierie sociale anti-nationale et le gaspillage délibéré des ressources commandé par l’État, persécutant la classe productive et privilégiant chaque tendance perturbatrice et parasitaire, ne sont jamais abordés par la soi-disant gauche ; en fait, ils veulent amplifier la distorsion.
La migration forcée constante aggrave continuellement tous les problèmes et crée le contexte idéal pour que le trio judiciaire-services secrets-médias opère sans contestation.
La France sombre dans une tyrannie et une démence sociale encore plus profondes et semble promise à une implosion dévastatrice.
French translation:
Le RN de Le Pen et leurs alliés du groupe dissident de Cotti, qui représentent environ 3 % et quelques, également comptabilisés pour les sièges à l'Assemblée, ont obtenu 33 % des suffrages populaires. C’est le score le plus élevé jamais atteint, mais pas suffisant. L’alliance naturelle entre « la gauche du travail et la droite des valeurs », comme l’a si habilement formulé Alain Soral, ne fonctionne pas comme elle le devrait pour sauver la France.
Le vieux schéma de la haine induite par les médias, les partis d’établissement de « droite » votant pour un amalgame insensé de candidats prétendument de gauche après avoir retiré bon nombre des leurs, uniquement pour empêcher l’expression légitime du mécontentement d’accéder au pouvoir, tout en permettant au lot destructeur d’anomalies et d’anormalités promu par les usurpateurs de l’étiquette de gauche, ce vieux schéma a encore fonctionné.
Il s’agissait d’une élection classique contrôlée par l’État profond, utilisant la même formule éprouvée, cette fois sous la bannière englobante de Mélenchon, bien parlé, mais une figure de proue présidant un sac vide (quoiqu’avec un bon slogan de marche), par ailleurs un outil parfaitement inoffensif et utile pour le système. L’assassinat idéologique de la France se poursuivra sans relâche.
Les partis théoriquement inclinés à droite peuvent constamment rallier plus d’électeurs, y compris ce qu’il reste des travailleurs, qui votent principalement Le Pen, dans l’esprit d’une véritable compréhension sociale qui était autrefois l’apanage de Georges Marchais et des vrais gauchistes français, mais cela n’a pas d’importance, l’État profond veille.
Les partis « centristes de droite » fabriqués par l’establishment, surgissant miraculeusement de nulle part chaque fois qu’on a besoin d’eux, ainsi que les « personnalités » politiques manufacturées, sorties du chapeau du jour au lendemain – à l’image de Sarkozy, Macron ou Zemmour – s’allient toujours avec la pseudo-gauche, la gauche socialement clivante, pour bloquer le peuple français (ce qu’il en reste) d’avoir une chance de suivre une autre voie politique que celle choisie par une « élite » anti-nationale.
Le réservoir électoral de la « gauche » a très peu à voir avec la gauche classique, socialement consciente et liée aux travailleurs, et beaucoup avec le woke, le mouvement LGBT+ et autres cultes d’identité de groupe imposés collectivement, la folie de l’arnaque écologique et la population culturellement inassimilée, socialement assistée et maintenue en bas, majoritairement d’origine immigrée.
Les problèmes sociaux causés par l’ingénierie sociale anti-nationale et le gaspillage délibéré des ressources commandé par l’État, persécutant la classe productive et privilégiant chaque tendance perturbatrice et parasitaire, ne sont jamais abordés par la soi-disant gauche ; en fait, ils veulent amplifier la distorsion.
La migration forcée constante aggrave continuellement tous les problèmes et crée le contexte idéal pour que le trio judiciaire-services secrets-médias opère sans contestation.
La France sombre dans une tyrannie et une démence sociale encore plus profondes et semble promise à une implosion dévastatrice.